Apprendre à rêver grand

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Apprendre à rêver grand

Transcription du podcast :

 

Bonjour à tous. Alors j’espère que vous allez vraiment bien et que vous démarrez un beau début de semaine. J’avais envie de vous retrouver autour de ce thème, de ces rêves, ces projections, ces ambitions qu’on peut nourrir, des fois qu’on peut masquer, cacher de peur de déplaire, de peur d’être jugé. Et j’avais envie de revenir sur ce sujet parce que ça fait vraiment une grande différence dans la vie.

Ce choix que l’on fait d’orienter ses pensées vers des choses plutôt modestes, peut être peu ambitieuses. Ou alors de se dire si vraiment j’écoutais le fond de mes rêves, ma vie ressemblerait à quoi ? Et pourquoi j’avais envie de vous aborder ce sujet ? C’est parce que c’est quelque chose qui m’a souvent limité, qui très longtemps, m’a retenu en arrière et qui, lorsque j’ai compris comment on arrivait à dépasser toute cette peur en fait du jugement de l’autre, de l’incompréhension de l’autre, tous ces conseils, ces pseudo conseils qui font que des fois on se dit « j’ai pas le droit de demander plus, de rêver au delà, de m’autoriser ou même d’exprimer ses rêves, parce qu’on va penser que j’en demande trop, on va penser que je suis prétentieuse. On va penser que j’ai une haute estime de moi même et en fait, je préfère taire ses rêves, voire je préfère même les étouffer et regarder un petit peu ce que la société me dicte, ce que mes parents me disent ».

Et vous entendrez très souvent « au moins, en ne rêvant pas très grand, on est moins déçu » et en fait, ça, c’est un truc auquel je ne crois pas. Je ne crois plus. J’y ai longtemps cru, parce que c’est une règle qui ressemble à une règle de prudence et qui pour autant, est vraiment la pire des choses que vous pouvez entretenir au sens où vous vous limitez complètement. Alors pourquoi je vous parle de ça ? C’est parce que vraiment, dans le programme que j’ai lancé de l’ombre à la lumière, je vous aide vraiment à dépasser vos limite. Vos peurs, vos freins et cette peur de voir grand, cette peur de rêver grand, cette peur d’écouter ces ambitions profondes, de les laisser s’épanouir, de les laisser projeter dans votre esprit d’abord, tout ce que cela peut apporter à votre vie et bien, c’est quelque chose qu’il est important de nourrir. C’est une démarche avec laquelle on n’est pas nécessairement à l’aise parce qu’on est plutôt entouré de personnes prudentes. Je pense qu’il faut reconnaître la réalité, des personnes qui vont plutôt rechercher la sécurité, quitte à ne pas être nécessairement bien dans ce qu’elles sont en train de vivre, mais qui, à défaut de d’assurance en fait, d’atteindre l’objectif, ne vont même pas tenter de faire le premier pas vers ce prochain rêve.

Et des fois, on se dit « il y a tellement de concurrence, il y a tellement de gens qui ont des rêves, qui ont déjà mis en place des choses avant moi, je ne vois pas pourquoi moi je réussirai ». J’aimerais vraiment que vous preniez les choses dans l’autre sens et que vous vous disiez « en fait, si d’autres ont réussi, si d’autres s’autorisent à rêver grand, à avoir des rêves qui les portent, à avoir une vie qui vous fait envie » et vous avez le droit d’avoir envie de plus, vous avez le droit de rêver de plus de confort, de plus d’aisance, de plus de sécurité financière, de plus de paillettes. Quand je parle de paillettes, vous y mettez ce que vous voulez en fait, ce qui vous vous attire. Parce que, en fait, quand on regarde les gens qui ont de l’ambition, qui écoutent leurs rêves, qui en parlent, qui les assument, qui les affichent, qui peut être en parlent un peu trop au goût de certains, mais en tout cas, ce sont des personnes qui font preuve d’un réel courage parce qu’elles vont vraiment verbaliser. Elles vont presque s’engager aux yeux du monde à atteindre quelque chose que beaucoup ne tentent même pas d’atteindre. Et même dans leurs rêves, ils ne laissent pas cette place à différents types d’aspirations. Ça peut être professionnel, ça peut être personnel, ça peut être au niveau rythme de vie, au niveau loisir… en tout cas, ce qui compte, c’est c’est vraiment se dire « j’ai envie de quoi ? »

Quand je vous ai parlé du bilan de l’année 2023 et de ce début dans l’année 2024 et d’ailleurs, je vous invite à réécouter ce podcast. Si vous ne l’avez pas écouté, c’est réellement important. Ça vous aidera à savoir comment on fait le point, comment on se réaligne, comment on vérifie que notre vie nous convient donc vraiment, je vous invite à aller le réécouter.

En fait, quand on fait ce type de bilan, quand on regarde un peu ce qui nous a fait vibrer, ce qui nous a plu, qui nous porté. Et puis, quand on regarde aussi ce qui n’a pas avancé, évoluer, ça nous permet de de nous dire « Mais pourquoi ça n’a pas évolué ? Pourquoi ça n’a pas grandi ? Est ce que c’est la routine qui m’a happée ou est ce que c’est pas plutôt les pensées que j’entretiens qui, parce que je n’arrive pas à en faire une priorité et à faire de mes rêves quelque chose que je sais accessible, possible. » Et bien du coup, c’est pour ça que c’est toujours mangé par d’autres pseudo priorités. Mais comprenez que votre priorité, c’est d’être vous, c’est d’écouter vos rêves, c’est de vivre la meilleure vie que vous puissiez vous dessiner.

Et clairement, on a combien de temps devant nous ? On ne sait pas. Et si vous jouez petit et surtout, j’espère que vous prendrez pas mal. Mais vous savez que si vous jouez petit, c’est ne pas chercher au delà de ce que vous avez déjà, ne pas vous autoriser même à rêver de ça. Parce que si on s’autorise et qu’on ne l’atteint pas, on se dit que ça va être la honte et tellement pas.

C’est le fait d’essayer qui force l’admiration. Il y aura toujours des gens pour vous juger. Mais ces gens qui vous jugent ce ne sont pas des gens qui essayent. Ce sont des gens qui n’ont pas ce cran que vous vous avez eu d’essayer donc laissez les parler, laissez les dire, laissez les dans une vie dont vous ne voudriez peut être même pas et ce n’est pas du tout un jugement, c’est vraiment se dire est ce que vous allez écouter des gens qui n’ont pas la vie, qui vous inspire ? Où est ce que vous allez plutôt prendre en exemple certaines personnes ? Parce que ça ça porte. Regardez quelqu’un qui a un parcours inspirant ça nous dit en fait, si cette personne l’a fait, certes elle a mis les moyens pour l’atteindre, mais si je mets moi aussi les moyens, de l’énergie, le focus sur ça, je peux atteindre ces rêves.

Et je peux vous assurer que dans la course entre guillemets, à ces aspirations, à ces rêves, à cette vie qui n’a pas besoin d’être grandiose pour vous faire vibrer, je peux vous assurer qu’il y a moins de concurrence sur les rêves vraiment inspirants que sur les rêves plutôt accessibles, parce que tout le monde se sent en sécurité pour se dire « Allez, je risque pas grand chose donc j’y vais. »

Mais les vrais gros rêves, les vraies belles décisions, ce sont des décisions qui souvent nous font sortir de notre zone de confort dans laquelle on est parfois juste tellement pas bien, mais dans laquelle on reste, parce qu’on la connaît, parce qu’on est habitué, parce que c’est facile, parce qu’on n’a pas d’effort à faire, On n’a rien à changer dans notre zone de confort.

On a juste à reproduire jour après jour ce qu’on fait depuis un certain temps. Sauf que si ça ne vous fait pas vibrer, si ça ne vous donne pas le sourire quand vous vous levez le matin, c’est quand même un signe important. Donc ce que je vous invite à faire, c’est premièrement d’être très honnête avec vous et de vous dire si vous n’aviez aucune peur, si tout était possible, si vous étiez sûr d’atteindre le moindre de vos objectifs, vous me poseriez quoi sur une feuille ? Vous m’écririez quoi comme objectif ? Comme rêve ? Comme si vous aviez la lampe d’Aladin entre les mains et que vous pouviez me dire « Allez vraiment, si je m’écoutait, je vous demanderai ça ». Et la vie, c’est un peu ça, c’est que c’est pas juste on rêve, on attire, ça marche, on a aucun effort à faire et hop, ça nous tombe dessus.

Ça ne marche pas comme ça. Et heureusement, parce que ça n’aurait aucun goût si c’était aussi facile que ça. Mais quand on poursuit un rêve, quand on a envie de quelque chose d’important et qu’on l’atteint, c’est juste fabuleux. Et quand on l’atteint pas, clairement, sachez que ça vous sert, ça vous muscle, ça entretient votre état d’esprit qui fait toute la différence. Parce que entre une personne qui n’ose pas changer, même quelque chose qui ne lui convient pas. C’est-à-dire que c’est quand même assez dingue. Il y a des gens qui toute leur vie, font un métier et vont au travail tous les matins en disant « Je déteste mon job, je déteste mon patron, je déteste les tâches que j’accomplis et pourtant je le fais quand même ».

Et vous allez peut être écouter ça en disant « Mais c’est un peu facile. Tout le monde n’a pas la possibilité de changer ». En fait, c’est compliqué pour tout le monde, que vous le reconnaissiez ou pas. Sortir de son confort, aller vers la nouveauté, être sur quelque chose qu’on n’a jamais fait. Réapprendre, des fois repartir de zéro, c’est compliqué pour tout le monde. Si vous croyez que quand j’ai quitté mon job chez Air France après plus de dix ans avec un contrat en CDI, avec un confort de salaire et puis une vie faut être honnête, plutôt très agréable, je prenais un vrai risque. Donc je ne l’ai pas fait du jour au lendemain, je conseille d’ailleurs un coaching à aucun mes clients de de prendre une décision radicale sans avoir testé avant la voie de côté, la voie en parallèle qui vous attire. Juste pour vérifier, pour voir comment vous vous sentez dans ce nouveau rêve. Parce que des fois, on se trompe. Parce que des fois, il faut essayer ce nouveau rêve et voir que c’est pas le bon pour découvrir le bon derrière.

Et tout plaquer ça. mais ça met vraiment une pression dingue. Mais je peux vous assurer que moi, personne, hormis mon mari, je vous l’ai dit et je vous invite à réécouter mon podcast, le tout premier en fait, sur mon parcours, sur mon histoire. Parce que je ne suis pas en train de vous dire d’écouter vos rêves et d’avoir des aspirations et en ayant vécu moi même la simplicité et des opportunités évidentes, j’ai dû faire des choix, j’ai décidé de prendre des risques.

Quand je dis j’ai dû faire des choix, c’est j’ai décidé de faire des choix. Et si vous saviez comme aujourd’hui, je suis heureuse d’avoir fait ce choix de quitter Air France et pourtant j’aimais mon métier. Il y avait quelques petits points de friction, des choses qui ne me plaisaient plus. Moi, je suis très attachée à la considération, aux égards qu’on a à l’égard de ses collègues.

Mais il y avait des choses qui, dans cette direction là, ne faisaient plus sens pour moi. Ne me nourrissaient plus et donc je cherchais pas à fuir. C’est juste que vraiment j’avais envie de quelque chose qui soit beaucoup plus aligné avec ce que j’avais envie de faire. J’avais envie d’impacter différemment. J’ai vécu des années merveilleuses chez Air France, mais ce que je fais aujourd’hui en vous accompagnant, en vous aidant à vous transformer, et je peux vous assurer que ce programme la masterclass de L’ombre à la lumière où je vous vois, vont transformer en quatre mois passés de timide , d’introverti, des fois très mal à l’aise en public, à quelqu’un qui sait ce qu’il veut, à des hommes, des femmes qui s’écoutent, qui s’affirment, qui se font confiance, qui apprennent, réapprennent pour certains à savoir qui ils sont. A savoir de quoi ils ont envie… Moi c’est tout ce que je vous souhaite et je trouve ça juste merveilleux et j’ai envie de vous accompagner encore plus. Je vous avais dit que je ferais ce programme qu’une fois par an mais en fait, je vais vous le ressortir bientôt parce que j’ai pas envie juste de vivre ça à vos côtés juste une fois par an, ça dure quatre mois ce programme et en fait, si je suis raisonnable, je vous sortir le programme deux fois par an. Mais je vais être dingue et vous proposer ça trois fois par an parce que c’est un programme de transformation profonde qui change tellement, qui a un impact tellement fort au niveau personnel et au niveau professionnel.

Il y a des personnes qui, parce qu’elles ne se faisaient pas confiance, restaient dans un métier qui ne leur plaisait pas, n’osaient pas demander des augmentations ou des promotions qui les amenaient à des postes qui les faisait vraiment vibrer, qui les intéressait vraiment, qui les stimulait vraiment et qui, parce qu’elles m’ont fait confiance, parce qu’elles se font confiance maintenant, se surprennent à demander des augmentations qui passent, mais au delà, en fait de leurs attentes, parce qu’elles visent plus haut en disant  » on va renégocier », mais avec la bonne formulation, avec cet aplomb, avec à la fois cette authenticité, ça passe tellement bien quand il y en a une qui me disait « mais je suis déjà rentabilisée de mon investissement » parce que c’est un programme effectivement qui a à 5 000 € ou presque, 4 800 €. Et on peut dire mais est ce que vraiment ça va valoir le coup ? Ça va vraiment m’apporter ? Et là, j’ai une de mes aventurières de l’audace qui suit de l’ombre à la lumière qui vient de se prendre 640 € net d’augmentation. Faites le calcul, vous allez voir que déjà, rien que là dessus, entre la fierté de ressentir ça et le salaire qui est acquis, c’est déjà dans l’année rentabilisé et puis le bonheur, elle me dit « Je ressent plus du tout la même chose quand je suis chez des amis avant, je n’osais pas m’affirmer. Maintenant, je suis moi. Je ne me demande pas de quoi je vais parler. Je n’appréhende pas la soirée, j’y vais et je profite. » Et ça, c’est quelque chose qui est tellement important quand enfin on trouve sa place, quand enfin on réussit à même choisir ses défis, ses objectifs, son entourage …ça change complètement la vie et vraiment si je n’avais pas rêvé grand, je serais encore dans un avion peut être en ce moment même au dessus de je ne sais quel pays en train de de partager, en train d’échanger avec des clients, avec des collègues et je trouvais ça très bien. Sauf que j’avais envie de vous impacter beaucoup plus qu’en vous offrant le confort de la nourriture et de boissons rafraîchissantes le temps d’un vol.

Et là, le fait de voir vos sourires, le fait de voir vos larmes qui se transforment en confiance, en solidité, en résilience, c’est quelque chose qui, pour moi, est l’évidence même que je suis à ma place. Et vous il y a forcément quelque chose qui vous parle, qui vous attire, qui vous appelle. C’est peut-être pas très clair, c’était encore flou, c’est peut être quelque chose qui vous effraie, mais je peux vous assurer que si vous commencez par agir sur votre mental, sur les mots que vous vous répétez, sur les croyances que vous entretenez, sur tout ce qui pour l’instant vous retient et vous pensez que peut être que vous n’arriverez jamais à avoir cet optimisme, cette résilience, cette force de caractère et pourtant c’est en vous . Je peux vous assurer que c’est en vous et et si vous regardez toutes les personnes qui ont franchi ce pas, alors je ne parle pas de quitter le salariat pour partir dans l’entrepreneuriat, ce n’est pas une fin en soi, c’est des fois juste s’écouter, c’est des fois se dire je suis pas bien dans mon couple, c’est des fois ça veut dire je suis pas bien dans cette ville. Si c’est aussi se rendre compte qu’il y a des amis dont on n’a plus envie de s’entourer. C’est s’écouter, c’est réussir à faire le point sur ce qui nous nourrit, sur ce qui nous fait du bien sur, au contraire, ce qui nous retient en arrière.

Et et si vous rêvez grand, si vous rêvez d’amis bienveillants, si vous rêvez d’un job, qui vraiment vous enthousiasme, si vous rêvez d’un amour qui est positif, qui vous fait vous sentir vous, qui vous fait vous sentir beau/ belle, fort, intéressant, en fait, c’est tout ça l’amour. L’amour, c’est apporter à l’autre de quoi être bien, et c’est savoir aussi prendre de ce temps passé avec l’autre de quoi nourrir eh bien tout ce qu’on a à nourrir. Dont on ne doit pas dépendre hein, l’idée, c’est pas d’être dépendant de l’autre, mais c’est de se dire dans les yeux de l’autre. Je vois qu’il est là pour mon bonheur, pour mon bien et je suis bien dans cette relation. Et en fait, quand on rêve grand, on rêve grand partout.

Au niveau personnel, au niveau professionnel, au niveau amical, au niveau physique, au niveau financier, à tout niveau. Ce qui est important, c’est vraiment de ne pas s’excuser d’avoir de grands rêves, de ne pas s’excuser, d’avoir des aspirations, des objectifs. Même si les gens vous disent que c’est trop. N’écoutez pas ça parce que c’est tellement plus facile pour les autres de vous dire que c’est trop, parce que des fois, ça renvoie à ce qu’on n’arrive pas soi même à faire naître, à créer, à suivre comme objectif et voir les autres réussir des fois, ça fait mal.

Entourez-vous bien, entourez-vous de personnes qui vont vous soutenir plutôt que vous retenir, qui vont même si eux ne s’engagent pas dans ce type de changement, de transformation, vont être contents pour vous. Et soyez le premier à vous dire « Mais honnêtement, si je me projette, si je ferme les yeux, si je m’imagine complètement libre, complètement confiant, j’ai envie de quoi dans cette vie ? Je me vois où ? je serai heureux et follement heureux où? »

Et ça, c’est essentiel parce que la visualisation elle nous porte, ces images qu’on crée dans notre esprit elles sont tellement plus puissantes que tous les mots qu’on peut poser. Et forcément, quand certaines personnes me disent « Moi j’écris, j’écris mes rêves, j’écris mes objectifs », que ce soit en début d’année, que ce soit à d’autres intervalles. Ce qui est important, c’est de ne pas s’arrêter là, c’est de se dire « OK, allez, ferme les yeux maintenant, ferme les yeux et regarde cette vie, cette vie, cette vie dont tu a noté les détails sur le papier et qui peut se matérialiser par des images ça ressemble à quoi ? Tu vis où ? Tu te comportes comment ? Tu as quel visage ? Est ce que tu souris ? Comment tu te sens en fait ? » C’est vraiment aller chercher dans vos sentiments comment vous allez vous sentir quand vous aurez atteint ces différents objectifs pour voir s’ils raisonnent en vous, voir s’ils vous portent, voire s’ils affichent un sourire naturel.

Et mettez le ce sourire sur votre visage et c’est pas l’utopie, c’est pas de l’optimisme déraisonnable, c’est juste une foi incroyable et quand je parle de foi, je ne parle pas de religion. C’est vraiment cette conviction profonde que vous méritez ça. Et si vous vous autorisez à vous dire « je mérite cette vie, je mérite d’être heureux, d’être heureuse. » Vous allez voir que ça va se produire, ça va se réaliser, mais il faut commencer par vous libérer, par franchir cette étape, par vous autoriser à rêver grand et vous allez voir que ça va être juste exceptionnel. Et dites vous que c’est pas parce que vous avez rêvé grand et atteint vos objectifs qu’il faut vous arrêter là.

Votre vie, elle est faite pour être modelée, pour être écoutée, vos besoins pour être assouvis, vos rêves pour être nourris. Vous êtes aux commandes de ça. S’il vous plaît, ne vous laissez voler ça par personne, surtout pas par vous. Surtout pas par vos peurs, surtout pas par vos croyances.

Alors j’espère que ce podcast vous aura fait du bien et surtout réécouter le. Fermez les yeux, projetez vous. Imaginez vous dans cette vie que vous méritez et vous savez maintenant que si vous avez envie que je vous aide à franchir ces étapes, que pour l’instant vous n’arrivez peut être vous n’arrivez pas encore à franchir ou vous n’êtes pas encore au stade espéré, vous n’avez peut être pas encore dans tous les domaines de votre vie tout ce qui vous ferait vibrer, tout ce qui vraiment vous ferait vous dire « Là, je suis à ma place. Là je suis bien là, je suis vraiment pleinement heureux ou heureuse » parce que c’est ça qu’il faut viser, parce que c’est à ça qu’il faut vous autoriser. C’est ce qui vraiment vous montrera que la vie, elle vaut la peine d’être vécue. Donc surtout, croyez en vous, croyez en vos rêves, faites les grandir, visez même l’étape au dessus et c’est comme ça que vous allez tout réaliser.

Je vais vous demander une chose, moi j’ai un rêve là pour 2024, j’aimerais vraiment impacter un maximum de personnes et pour ça j’ai besoin de vous. Est ce que vous pouvez partager ce podcast à toutes les personnes auprès de qui vous pouvez le partager ? Je vous demande pas de le partager à une, deux ou trois personnes. En fait, si vous le partagez à 15, 30 ou 50, ça va vraiment m’aider à faire de ce podcast un podcast qui peut rayonner, qui peut créer des déclics, qui peut devenir un podcast qui réellement aide de nombreuses personnes à s’affranchir de leurs peurs, de leurs croyances, de toutes ces freins qui, qui peut être vous vous enserrent encore en ce moment et donc avec votre aide ensemble, on va pouvoir atteindre cet objectif. C’est un de mes objectifs je vous le dis, c’est important de pas rester seul avec ces objectifs parce que si chacun d’entre vous, vous partagez ce podcast, parce qu’il vous a parlé, parce qu’il vous a plu, parce qu’il a résonné en vous, eh bien vous m’aider et je vous en remercie d’avance.

Je vous embrasse bien, bien fort. Surtout, prenez soin de vous, prenez soin de vos rêves. Et puis j’espère que vous embarquerez très vite avec moi sur ce programme de transformation. Je vous dis à très bientôt.

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